Enfin un peu de repos

Enfin , l'éclaireur sudinite sorti du bois sombre et se retrouva dans une forêt paisible et a la beauté inégalable . Ce qu'il voyait la lui semblait irréelle . Les tronc noir du bois sombre avait laissé place a l'argent de la forêt si bien nommé . Les feuilles ambrée ne laissait passer le soleil que par endroit , provoquant des faisceaux de lumiere . Les oiseaux et une rivière chantait ce qui lui semblait une berceuse . Aussi lorsque le ciel commença a s'assombrir , il n'hésita pas a s'arrêter pour la première fois depuis des jours . Il n'alluma pas de feu , ne voulant détruire cette beauté qui l'entourait et tout ce qui l'entourait avait endormi sa méfiance , peut être même trop . Il s'endormit dans un sommeil réparateur et ne se réveilla que lorsque le soleil fut haut au dessus de sa tête . Alors il reprit la route avec une vigueur nouvelle . Il n'était plus loin désormais .

La Forêt d'Argent, merveille jalousement gardé par les Elfes depuis des millénaires. Plusieurs fois des envahisseurs, venu des trois autres Nations, avaient voulut pénétrer dans ce sanctuaire de beauté. Les feuilles des arbres ne tombaient jamais, au contraire, elles étaient comme des pierres précieuses, changeant de nature à chaque saison. Qui pourrait croire que des combats avaient put se dérouler ici ? Ces arbres, aussi vieux que le monde, n'affichait aucun mal, aucune cicatrice. Un territoire de paix dans un monde en guerre.

Alors que la paix de la Forêt d'Argent prenait place dans le coeur de l'éclaireur, des flèches noires se mirent soudainement à partir de tous les cotés pour se fendre dans son corps, maintenant ensanglanté. Ce furent des flèches Orques et les meurtriers ne tardèrent pas à s'approcher de l'éclaireur Sudïnite agonissant.

"Mourak ! Un Sudïnite ! Qu'est-ce que tu es venu faire ici l'ami ?", dit l'un des Orques dans sa langue gutturale en se penchant vers sa proie. "J'ai jamais gouté de Sudïnite, ils n'en passent pas souvent par ici. Vous pensez tous que cette forêt est paisible, hein ? Bon terrain de chasse alors. Les gars ! Portez son corps, on le ramène à manger ce soir !"

L'un s'approchât du Sudïnite et lui tranchât la gorge avant que d'autres viennent le porter pour l'emmener "à manger". L'éclaireur Sudïnite venait de perdre la vie, son âme était déjà partit pour la Salle du Jugement. Avant de mourir, il eut une dernière pensée patriote.

"Qui va porter mon messages maintenant ?"