Histoire d'Hamorya
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Message  Invité Ven 3 Oct - 20:53

Voilà donc je réitère l'exploit, une révision du ébut du bouquin après avoir demander l'avis à d'illustres inconnus sur des forums d'écriture et de rp, donc ajout de description, tentative de correction, modification de conjugaison, bon rien de majeur mais quelques modification pour ceux qui ont le goût du détails.

Introduction :

Je me suis réveillé dans ce putain de lit, avec un putain de mal de crâne…Les liqueurs aux noms imprononçables, très peu pour moi…Première fois que j’ai une gueule de bois comme celle-là…Si un officier me chopait dans cet état, j’irais dans la cage pendant un sacré bout de temps…Autant être en retard, histoire de me préparer de quoi me remettre sur pied.
Je me levais… Un peu trop brusquement et je sentais le liquide qui me rempli le crâne bouger dans tout les sens. Je parvenais néanmoins à me maintenir assis et finis par me relever…En observant le dortoir, je ne pouvais que constater que j’étais probablement déjà en retard, tout le monde était déjà partit, j’étais seul… Sans témoins c’est mieux.
J’ouvrais la malle qui se trouvait au bout de mon lit, et y pris une boite en fer noir. À l’intérieur je trouvais une lame de couteau, et tout en la levant devant mon visage, je souriais. Me rasseyant sur mon lit, je m’entaillais légèrement le poignet, puis sous mon matelas, j’attrapais un sachet de poudre rouge, dans mon drap un liquide transparent dans une poche de plastique. J’en versais un peu des deux sur la plaie et aussitôt la drogue coulait dans mon organisme, purgeant l’alcool restant et soulageant la douleur. Je rangeais les produits à leurs place tout en pensant que si je continuais à un prendre comme ça je finirais accroc, mais ça allait encore…
La fatigue du matin s’envola en même temps que ma gueule de bois, la drogue me fournira un peu d’énergie pour la matinée mais il fallait quand même que je mange.
Je me passais une main sur la joue…Foutue barbe !

Je passais ma main sur la glace pour en enlever la buée, je regardais quelques instant mon torse et mes bras musclés puis m’appuyais sur le lavabo tout en examinant mon visage… Je fixais d’abords les yeux verts ternes de mon reflet puis passais sur mes joues, mon menton et ma gorge que je découvrais chaque matin, dévorés par une barbe brune foncées de la même couleur que mes cheveux. Mais grâce aux miracles du rasage je retrouvais un visage imberbe quelques minutes plus tard. Enfin j’observais les trois fines cicatrices sous mon œil droit.
Arrêtant de me regarder dans la glace, j’attrapais une serviette et me séchais les cheveux tout en pensant que c’était ce qui arrivait quand on jouait avec un louveteau polaire et que ses parents venaient le chercher… J’allais ensuite finir de m’habiller.

Au bout d’un quart d’heure, j’avais réussi à faire l’ensemble des choses que nous faisons tous les matins, faire nos lits, nous laver et nous raser. J’ouvrais la porte du dortoir et me retrouvais nez à nez avec Yord. Cet abruti avait un talent inné pour m’être désagréable, voir plus encore. Accompagné de trois de ses lieutenants, que moi j’appelais ses chiens, ils avaient l’air d’une meute qui n’avait qu’une envie, me mordre.
- Tiens Rekam, si je m’attendais à ça ! Encore dans le dortoir à cette heure, mais qu’y faisais-tu ? me dis Yord, qui transforma au dernier moment son air surpris en sourire mauvais.
- Et bien pour tout avouer je me consacrais à un plaisir masculin, mais je ne suis pas sûr que tu saches vraiment ce que c’est…
Un de ses sbires faillit éclater de rire mais un autre lui appliqua un solide taquet à l’arrière du crâne et il se reprit.
- Tu as la langue bien pendue. Mais moi je sais ce que tu fais le soir pour que tu ne te réveilles pas, comme ça t’arrive si souvent ces derniers temps !
Une pointe de stress monta en moi mais une réplique me vînt presque aussitôt :
- Ah, tiens, alors pourquoi m’as-tu demandé ce que je faisais ? Non moi je pense qu’en fait c’est toi qui fais des choses le soir et peut-être même que c’est du sport de chambre avec tes petit amis…
Je provoquais volontairement Yord, il était homophobe au possible et que l’on mette en doute sa sexualité le mettait hors de lui. Et lorsqu’il était hors de lui, tout ce qu’il pouvait faire c’est ressembler à un chien à trembler et aboyer.
- Tu vas voir, gronda Yord.
- Vous voulez vous battre ? Dis-je d’un air faussement étonné. Non parce que la dernière fois je tiens à rappeler que malgré mon poignet cassé moi j’osais sortir du dortoir sans trois chiens pour m’accompagner, n’est-ce pas ? me moquais-je avec un sourire, ce petit rappel était la goutte qui ferait déborder le vase.
Je m’amusais à voir Yord bouillir de rage pendant quelques secondes, alors qu’il essayait de se contenir mais finalement :
- Chopez-le ! hurla-t-il.
Je me mis à courir, les bottes aimantées me ralentissaient mais c’était aussi le cas pour eux, et moi je n’étais pas forestier pour rien, je pris dans à ma ceinture un poignard long. Croyant que j’allais m’en servir contre eux, les autres s’arrêtèrent pour dégainer leurs armes, mais moi je ne fis que planter la lame entre deux plaques de métal de ma botte droite. Etant liés l’une à l’autre, le coup affecta aussi mon autre botte.
A cet instant mes bottes me donnèrent l’impression que je devenais beaucoup plus léger. Le coup avait perturbé, pour quelques instants du moins, leurs magnétismes.

Arrivé au bout de couloir j’entendais encore les « amis » de Yord courir lourdement souffler derrière moi. Il y en avait même un qui n’avançait plus du tout, il avait essayé de reproduire ce que j’avais fait mais avait récolté l’effet inverse et ce retrouvais cloué, ou plutôt aimanté, au sol.

Je passais une porte et la refermais derrière moi. Je me retrouvais dans un des couloirs panoramique de la station ; Ces couloirs servaient essentiellement à impressionner les nouveaux et les visiteurs. De mon côté je ne m’étais jamais lassé des paysages spatiaux toujours changeants que nous traversions, et dès que je le pouvais, sans m’afficher comme un amoureux des paysages, j’allais les observer…Les étoiles avaient la fâcheuse tendance de me rappeler combien Glocati me manquait…
Glocati Bonnegann, la planète des glaces, l’une des premières colonies de la République Amerosienne humaine 1… J’avais grandis là-bas, avec ma famille…
Qu’est ce qu’il penserait s’ils savaient que je buvais et parfois me droguais ? J’en sais rien…De toute façon du fin fond d’une tombe ils ne l’apprendront pas…Il y avait juste…Peut-être que mon frère était en vie mais je n’en savais rien, et de toute façon je m’enfoutais ; J’étais le Forestier de 6ème Année Rekam Tharn, membre de la patrouille 36 2 et de la 909ème 3 compagnie colonial de La République Amerosienne.

J’allais décrocher mon regard du paysage multicolore qu’offrait l’espace avec ses nébuleuses et ses étoiles, lorsqu’un scintillement argenté apparût. Curieux, j’observais plus attentivement… Sa n’est que lorsque un bruit se fit entendre contre la porte que je sorti de mes rêverie.

Je me dirigeais alors d’un pas tranquille vers la cafétéria, le temps que ses abrutis comprennent qu’il faut tirer et pas pousser la porte je serais déjà arrivé. Mais je devais me dépêcher, je n’avais que peu de temps pour prendre mon petit déjeuner, dans quelques minutes les cours commençaient. Et pendant que je m’approchais du self je me demandais : Qu’est ce que Yord pouvais bien avoir à faire, de si bonne heure, dans le dortoir.

1. Nous sommes en 2453, et des conflits internationaux et de nombreux accords de paix ont finis par créer le super-pays intercontinental : Ameurosie. Composé de toute les Amériques et de l’Europe ainsi que de la Russie et du Japon. Par la suite, la Chine, l’Inde fusionneront également. L’Afrique et les derniers territoires indépendants furent annexés par la guerre ou la corruption des dirigeants.
2. Les patrouilles sont des groupes de militaire regroupant les 6 domaines de compétence militaire, Commandement, Science, Technologie, Renseignement, Colonisation, Commando. Rekam est un Forestier, donc du groupe Colonisation.
3. Les compagnies sont chacune composé de 100 patrouilles soit 600 hommes et femmes.
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Message  Invité Ven 3 Oct - 21:37

Chapitre Premier : Rêve, Aime, Brise, Meurt :

*
* *


Je sursautais alors que les portes du self s’ouvraient.
Regardant autour de moi je poussais un soupir. Le vent remua les hautes herbes et me rafraichis en cette nuit chaude.
Je regardais la Lune, son Œil était encore tourné vers moi, je n’avais pas compris ce que cela voulait dire, juste qu’elle me « surveillait ». Puisse ce vioc crever en souffrant… Je ne comprenais rien, il m’avait appelé Plumargent et depuis je rêvais toutes les nuits de choses qui ce passe, et qui ce sont passées…Je préférerais savoir ce qu’il ce passera.

Les temps sont incertains au-delà de la mer des armées entrent en mouvement, la diplomatie du poignard fait son œuvre, l’honneur et la morale n’avaient plus leurs places. Comment veux-tu que cette baltringue de paladin censée être le serviteur du bien sauve le monde ? Il est incapable de ce sauvé lui-même…

- C’est mal d’être jaloux, dis une voix que je ne reconnus pas. Je me retournais brusquement avant de réaliser que c’était la mienne.

Je me recouchais en me disant que je m’enfoutais de ce qui était mal, tout ce qui comptait, c’était la cascade d’argent, les visions et puis aussi sauver deux ou trois peuples de l’extinction. Ça c’était mon boulot…


*
* *


Le self du Commodore était une vaste salle dont les murs étaient d’un morne gris acier, on pouvait y rentrer par de nombreuses portes et on mangeait sur des tables qui ressemblaient plus à des blocs d’acier posé là, dans un alignement parfait certes, mais sans fonction particulière. C’était lorsque vous vous asseyez sur l’un des tabourets qui entourent ces tables que vous comprenez vraiment, un plateau sort de la table et comme par enchantement une série d’aliments correspondant à vos besoins selon diverses paramètres enregistrés par votre siège viennent se déverser dans votre plateau via un tuyau provenant lui-même de la table.

Le bruit ambiant du self fit revenir ma migraine. Je m’assis à une table et la tête dans les mains je me jurais de ne pus boire de ma vie.

- Un problème de réveil Rekam ? Me demanda ma voisine.
Un plateau sortit de la table devant moi.
- Oui, c’est gentil de t’en soucier Jenna…
Les aliments, pour la pluparts des concentrés de vitamines et de nutriments à l’état liquide se déversaient dans mon plateau.
- C’est rien, t’as essayé la fibre d’isim ?
Je sortis ma tête de mes mains et regardât, étonné, Jenna. La fibre d’isim était un puissant anti-gueule-de-bois classé drogue douce, bien connu des recrues qui boivent régulièrement…et aussi des sections de renseignements qui servent aussi de forces policières dans la flotte spatiale.
Je pris mon air le plus innocent et d’un ton offensé je dis :

- Mais enfin Jenna je n’ai pas besoin de ce genre de produit, sa me déçois que tu me penses comme sa !
- Je t’en refilerais après le petit-déjeuner, dis la jeune fille avant de boire une gorgée de café.
Mes yeux s’agrandirent d’étonnement. Qui eût cru que cette jolie petite brune du département de renseignements militaires me proposerait de la fibre d’isim.
Comprenant qu’elle faisait cela car elle savait que cela me ferait moins de mal que si je n’en prenais pas, je lui fis un sourire désolé.
- Je ne dis pas non…

Elle eût un sourire taquin.

- Tu devrais faire gaffe Rekam, on approche dangereusement du jour où on deviendra des officiers et là je ne pourrais pu ni t’aider ni te laisser faire.
- Faire quoi ? Tu ne m’avais jamais vu prendre quoi que ce soit n’est-ce pas ? Dis-je avec un grand sourire.

Je fus sauvé d’une réplique cinglante par l’arrivée opportune des cinq autres de la patrouille 36 pour venir nous rejoindre.
Je les saluais tous, d’abord Faber, membre du Commandement, puis Malya qui était du département des Sciences, les jumeaux de la section Technologie et enfin Armis, membre des Commando.
Dans le Commodore on nous appelait les 7. Alors que les patrouilles classiques comprennent 6 membres, nous on avait hérités de deux jumeaux Jeyram et Joram aussi semblable que deux écrous comme ils disaient. Fans de la mécanique et des technologies dangereuses ils ont également une force à en faire pâlir d’envie un taureau, on à jamais vu personne battre l’un des jumeaux au bras de fer. Une fois des gens ont réussi à faire fléchir Jeyram en s’y mettant à quatre, la rumeur voulait aussi que se jour là Jeyram ai été malade.
On se distinguait aussi à car nous avions la crème des crèmes des Sciences. Malgré tout les gars qui lui tournaient autour pour son tour de poitrine, elle trouvait le temps de réviser l’organisation des organes Elichtos et la circulation du sang dans les grenouilles tropicale géantes et d’autres choses tout aussi charmantes. Et le reste du groupe n’était pas mieux : Armis était le meilleurs sniper qu’on est vu dans le commodore, en salle de simulation personne ne lui échappe ; Jenna fille du célèbre Guen O’Hedor qui commande la 34ème flotte spatiale du consortium. En-dehors de la célébrité de son père et du fait qu’elle possédait une des plus belle chute de reins du vaisseau, elle est connue pour avoir réussi des missions d’infiltration où des officiers échouaient lamentablement. Et puis il y avait moi… Membre du département de colonisation. Ça aurait fait très classique si j’avais dit que j’étais le cancre du groupe où même que j’étais hyper talentueux comme mes petits camarades mais je suis un original et ça n’est pas le cas.
Ou en tout cas ce n’est pas ce que je pense. Je suis l’un des meilleurs sur le domaine pratique, je suis capable de survivre dans n’importe quel milieu hostile pendant quatre fois plus de temps que les autres coloniaux mais le département de Colonisation est une unité de combat utilisée en cas d’assaut d’un milieu naturel et inconnu et donc hostiles et une unité chargée d’assurer la survie des autres unités dans ses milieux dangereux, et être défoncé à un n’importe quoi ne m’aide pas…

Et pendant que je me fais ces profondes réflexions, je mâche du pain tartiner d’un infâme mélanges de protéines et de vitamines puis prends le paquet que Jenna me refile discrètement avant de me diriger vers ma salle de simulation lorsque retentit la sonnerie.

Dans les couloirs je regarde une jolie fille qui, elle, ne ma jamais vu…Je hausse les épaules quand je me rends compte que une fois encore elle ne me remarque pas…En tout cas pas comme plus que le Colonial le plus turbulent du Commodore.
Par un miracle inattendu, j’arrive à l’heure en cours et le prof, le lieutenant Rokath me regarde d’un œil mauvais. Il fait tout le temps ça depuis que j’ai détruit une de ses machines de simulation par « accident »…

Dans la salle de simulation les Coloniaux s’équipent en silence. Un gilet survie-G.I, un pistolet-marteau, une hache à lame condensée1, diverses petits appareils d’analyse de végétaux, minéraux et autre matières que l’on pourrait trouver, un sac plein de provisions, de toile, de tente et d’autre outils de survie ET mon jouet préféré, le fusil à impulsion.

J’ai lu dans une encyclopédie qu’il y à plus de quatre-cent ans l’équivalent de cette arme était le fusil à pompe. Bien qu’efficace sur près d’une centaine de mètre, plus la cible est proche plus la puissance du coup est grande. Cette arme est également utilisée pour détruire les petits obstacles comme les rochers ou certains végétaux.
La salle s’illumine et deviens blanche éclatante, nous ne distinguons plus que les autres coloniaux. Et la simulation commence.

Je ne sais plus ce qui est vrais et ce qui est faux, tout mes sens sont troublés et tout d’un coup on me lâche dans la « réalité ».

Je suis dans un transport aérien de débarquement. L’officier me hurle que en-dessous ils ont besoin de moi pour prendre la position tenu par un groupe d’Elichtos.
J’acquiesce et je me jette dans le vide par la porte du transport, dans mon dos des réacteurs s’activent lorsque l’air glacé s’engouffre dedans. Je survole rapidement le champ de bataille. Il y avait de nombreux hommes et femmes dont la vie dépendait de mon intervention.
J’atterris sur la plage et me débarrasse des réacteurs, devenus inutiles et trop encombrant. Je sors mon fusil et le charge. J’entends le cri d’un Elichtos derrière moi, je me retourne et vois un gros lézard équipé d’une paire de pistolets Sang-froid, bavant une écume verte.
Il tire, je me jette dans le sable et réplique, une douleur cuisante dans ma cuisse et une pluie d’entrailles bleue. Il était vraiment trop près…

Je m’assois dans le sable et avec difficulté, mets la main gauche contre la blessure… Le venin de la munition Sang-froid du reptile se répand en moi… Ma vue se brouille et je sens que mes yeux commencent à se cristalliser… Encore quelques seconde et j’exploserais dans une myriade d’éclats de chair et d’os cristallisés. Je lutte contre la glace qui emprisonne mes articulations et attrape le long de mon tibia, une seringue contenant un liquide jaune. J’arrache un pan de mon pantalon et m’en sert pour m’enserrer le bras, j’injecte l’antidote.
Déjà ma vue reviens à la normale. Je me relève, fou de rage et fonce droit sur les Elichtos qui me tirent dessus…
Je vais les tuer ! Tous les tuer !

1. Le Gilet de survie-G.I est une tenue militaire dans laquelle se trouve de nombreuse poches de médicaments mais aussi un mini-ordinateur qui, via les lunettes pare-tir que porte chaque soldat, informe le porteurs de nombreuses informations et peux effectuer de nombreux calculs à grande vitesse.
Le pistolet marteau est une arme-outil, lorsque l’utilisateur appuie sur la gâchette l’arme se charge, quand la pression et relâcher, l’en-tête de l’arme utilise cette pression pour se projeter en avant, la puissance est généralement suffisante pour creuser un trou de la taille d’un poing humain dans de l’acier.
Les armes à lame condensée sont des armes blanches à base d’un nouvel alliage de carbone découvert en 2347 par un groupe de chercheurs indépendants. Ces armes sont extraordinairement tranchantes et ont la particularité d’être indestructible.

*
* *


Ses crocs se plantèrent au travers de mon bras et je poussais un hurlement bestial. L’Argentis parcourût mon corps et je sentis que mes muscles se tendirent et ma puissance grandir et d’un coup de pied j’éjecte le Lunier loin de moi. En faisant ainsi, ses crocs déchirent mes muscles en tentant d’y rester fixer et je serrais les dents pour ne pas m’évanouir.
Lorsqu’il se releva, nous nous regardions comme deux chiens de faïence.

- Plumargent ! Tu n’as aucun droit sur nous ! La déesse s’est trompée lorsqu’elle ta accorder ses pouvoirs !
- Tu es déchu Ka’nor ! La Dame Lune à estimer que ta rage aveugle ne devait plus mener notre peuple dans l’obscurantisme ! Tu oses te prétendre plus sage qu’elle ?!
- Le Nôtre ?

Ka’nor éclate de rire.

- Tu n’es qu’un bâtard ! Tu es né parce que l’un des tiens à réussi à séduire une femelle de mon peuple !
Il se jette sur moi, je dégaine ma lame et pare le coup. Nous luttons quelques instants, l’un essayant de forcer l’autre à plier sous la force de l’autre… Puisant dans ses réserves, il m’éjecte et profite de l’ouverture dans ma garde pour me frapper au torse de sa lame. L’argent déchire et brûle ma chair.

*
* *
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Message  Invité Sam 4 Oct - 21:09

Je sors de mon abri et tire. La tête de l’Elichtos explose et d’un saut je rejoins une jeune femme blessée.

- Ca va aller ? hurlais-je
- Je… Je crois…
Le mini ordinateur de mon gilet m’indique que ses chances de survie sont de l’ordre de 13% Je ne pensais de toute façon pas qu’elle survivrait, elle avait perdu beaucoup trop de sang.

- Vous en faite pas je vous ramène au Bercail !
- Non ! Vous êtes un Colonial !
Elle tousse un peu de sang.
- Vous devez nous aidez à prendre la position, ils sont retranchés dans une caverne, vous devez guider une escouade, vous êtes le seul à des kilomètre à la ronde à pouvoirs les battre dans leurs milieux naturel !

Je la regarde. Elle me semble terriblement belle malgré le sang et la saleté et mon cœur palpite comme jamais il ne l’avait fait, je sens son odeur…Une odeur de brulée, de poudre, de sang mais aussi le parfum…comme je n’en avais jamais senti mais tellement délicieux à mes narines, je la porte malgré ses protestations. Je cours…Plus vite que je n’ai jamais courus, je n’avais jamais ressentit sa…Le besoin de la protéger… De l’aimer.
Un obus explose juste devant moi et j’esquive de justesse mais un éclat me traverse la jambe, je tombe, elle hurle…

Je ne sais pas ce que je fais ni comment je le fais mais je me retrouve sur les pieds et je porte toujours la jeune femme malgré la douleur. Lorsque j’arrive près du vaisseau je la dépose sur une civière et avant que les robot-ambulancier ne l’emmènent je lui demande :

- Qu’elle vôtre nom ?

Elle n’a pas le temps de me répondre que la simulation s’arrête.

J’entends la voix de Rokath… Et je murmure :

- Oh putain…
- RECRUE THARN !
- Lieutenant oui lieutenant ?!
- QUEL ÉTAIT VOTRE OBJECTIF DURANT CETTE SIMULATION RAPPELEZ-LE MOI ?!
- Je devais aider les hommes sur place à prendre une position tenue par des Elichtos lieutenant !
- EXACT ET QU’AVEZ-VOUS FAIT RECRUE THARN !
- J’ai tenté de sauver la vie d’une femme blessée lieutenant !
- L’ORDINATEUR DE VOTRE COMBINAISON VOUS A POURTANT INDIQUER SA FAIBLE PROBABILITÉ DE SURVIE N’EST-CE PAS ?!
- Lieutenant, oui Lieutenant.
- ET ELLE VOUS A DIT DE PRÉFÉRER VOTRE MISSION A SA VIE N’EST-CE PAS ?!
- Oui lieutenant.
- ALORS POURQUOI L’AVEZ VOUS RAMENER AU VAISSEAU ?!
- AFIN QU’ELLE EST UNE CHANCE !

Le silence planait dans la salle, les autres recrues avaient finis depuis un moment leurs mission et apparemment presque tous avec succès. Mais aucune joie ou aucune peine ne devait être comparable à la stupeur des autres recrues et de Rokath lorsque je me mis à hurler sur un officier supérieur. J’étais turbulent et prenait des trucs pas toujours net mais jusque là je n’avais jamais agressé directement un supérieur, encore moins Rokath.

- Peut-on savoir ce qui vous prend recrue Tharn ? me dit le lieutenant Rokath d’un ton plus froid que les nuits de Glocati Bonnegann.
- Il me prend que vous êtes un sacré connard Lieutenant…

J’entendis un craquement provenant de la main de Rokath.

- Pouvez-vous répétez ?

Je m’approchais de son oreille et dit en détachant bien toute les syllabes :

- Vous…êtes un…sacré…CONNARD !

Le coup de poing fusa et ma mâchoire fît un craquement atroce. J’atterris sur le sol métallique avec le goût de mon propre sang dans la bouche…
Si les recrues n’osaient pas critiquer Rokath ce n’était pas simplement parce que c’était un officier parmi les plus irascibles et les plus sévères mais à cause de sa force physique impressionnantes et sa tendance à corriger un peu trop souvent les élèves avec ses poings.
Je me redressais sur les coudes. Une douleur m’élançait dans tout le crâne. Mon regard se leva sur Rokath qui s’approchait de moi et m’attrapa par le col et me souleva à hauteur de son visage.

- Quelque chose à ajouter recrue Tharn ?

Je bavais un peu de sang et le lieutenant dit, un sourire satisfait aux lèvres :

- Aller chercher une civière pour transporter la recrue jusqu’à l’infirmerie, il à la mâchoire brisée…

Plusieurs recrues partirent aussi vite que la discipline le leurs permettaient et revînt avec une civière, je tombais inconscient lorsqu’un des idiots qui essaya de me porter me toucha la bouche.

*
* *


- Plumargent ! La sorcière des flammes ! Elle est revenue !
- La sorcière des flammes ?
- Oui, me répond le Lunar, elle s’était installée au Nord de la forêt il y a longtemps et nous avions réussi à la faire partir mais elle est revenue et ses pouvoirs sont plus terribles que jamais !

Je sortais à nouveau d’un rêve du temps où j’étais encore sur le Commodore…A moins que ce ne soit maintenant que je rêve ? Mais alors comment pourrais-je me rappeler la cascade d’Argent ? Le Paladin et tous les autres dont les « Destinées » devaient s’accomplir ?... Encore un mystère à élucider.

Je saute de la branche où j’étais perché et avance d’un pas. L’Argentis coule dans mes veines. J’ai parcouru une centaine de mètre en un pas et quelques dizaine de pas plus tard j’aperçois la chaumière de la « sorcière ».
En observant les alentours je constate que la végétation se porte bien et que rien n’est carbonisé. La sorcière avait eu la réputation, dans le passé, de tout brûler aux endroits où elle s’installait avant de bâtir ses domaines sur les cendres de ce qui y vivait.

- Etrange… murmurais-je

Et alors que j’observe depuis la lisière de la forêt je vois une forme rouge se profiler au loin. Je renifle une odeur qui ne m’est pas inconnue et je vois son visage…

*
* *


- Hey réveille-toi !
- Tu fais chier putain…
- Ce n’est pas l’heure de pioncer !
- Ouais c’est l’heure de bouffer alors pourquoi vous n’êtes pas à la cantine ?
- Pourquoi t’es à l’infirmerie ? me demande Armis
- J’ai fait une mauvaise chute à vélo…
- Te fout pas de notre gueule, me réplique un des géants.
- Bon okay, il se pourrait que j’aie insulté Rokath et qu’il m’ait collé une droite…
- Ils ont dit que t’avais la mâchoire péter et que tu devrais parler avec un ordinateur pendant deux semaines…
- Bah de toute évidence ils ce sont gourer parce que je peux parler ! D’accord sa brûle un peu si je bois de l’alcool mais sinon…

A cette instant six regards ce collent sur moi.

- C’est bon je rigole j’ai rien bu depuis que je me suis lever !
- Je ne trouve pas sa drôle, un des infirmiers m’a dit que ta frôler la fracture du crâne, me dis Jenna avec un air sévère.
- C’est trop mignon quand tu t’inquiète pour moi !
- Rekam… Gronde Faber

Faber, ce grand brun charismatique était une des rares personnes qui pouvait me donner des ordres ou me réprimander sans que je ne prépare quelque chose pour me venger de lui par la suite…

- Ce qu’on essaye de te dire, c’est arrête de te faire remarquer, on sera à Ithinis Maxia dans trois semaines, et à ce moment on deviendra des membres à part entière de l’armée, il est plus que temps d’arrêté les conneries… Et puis aussi qu’on s’est inquiéter pour toi, que serais les sept s’ils n’étaient que six ?

J’ai envie de lui répondre qu’il serait les sept moins 1 mais je n’en fait rien. Il fait son sourire mi-inquiet mi- désolé qui fait que personne ne lui en veux quand il nous rappel à l’ordre. Et les autres me jettent des regards soit inquiet soit sévère… J’entends le bruit du moteur d’anti-gravité du chariot à repas de l’infirmerie

- Bon ce n’est pas que je m’ennuie de votre compagnie mais pour moi c’est l’heure de becter.

C’est ce que j’ai dit pour remercier mes amis de s’inquiéter pour moi… Je m’en suis toujours un peu voulut mais j’aurais prouvé que je n’étais vraiment pas dans mon assiette si je les avais remerciés…

Ils me laissent et commencent à discuter, j’ai du mal à entendre ce qu’ils disent, leurs voix ce font distantes et le chariot arrive près de moi. Le bras mécanique appuie sur un bouton sur le côté de mon lit et en sort un plateau qui vient se placer juste sous mon nez. Le bras mécanique verse dans une assiette une infâme bouille puante jaune foncée et pleine de grumeaux avant d’y coller une paille…

- Ah oui c’est vrai je suis censé avoir la mâchoire briser…

Je n’ignorais pas que Rokath, lorsqu’il frappait un élève prenait un malin plaisir à lui casser quelques chose pour ne plus le revoir dans son cours pendant un moment… Il ne m’aurait pas laissé si il n’avait pas été sur que ma mâchoire était fracturée… Même avec les techniques médicales avancées de notre époque une fracture ne se guérit pas en moins d’une heure…
Tout en y réfléchissant je buvais mon infâme repas.
*
* *

Nos lames se rencontrent et le choc me donne l’impression que mon bras va se briser. Et pendant que je lutte pour repousser son épée de glace il me décoche un coup de poing qui m’envoie valser. Je m’écroule dans la neige qui se colore de rouge.
Une main sur le sol, une autre sur ma plaie j’essaye de me relever. Je regarde le monstre. Sa peau de glace était impénétrable et mon Âme était brûlée, je ne pouvais utiliser l’Argentis.

Il chargea, ses pas lourds faisaient trembler toute la montagne. Je me prépare au choc.

Lorsque sa lame glacée tranche net mon bras je ne ressens aucune douleur et me dis que j’ai échoué… Je tombe à genoux et observe le géant, il lève son épée pour me donner le coup de grâce, je lui offre mon cou. J’accepte ma mort.

Il y a un choc puis ma vision ce voile.
*
* *

Je me redresse et prends une puissante inspiration en me réveillant. J’ai rêvé de ma mort… Enfin de celle de mon autre moi comme je l’appel… Cela fait quelques temps que je fais ces rêves je les ai toujours pris comme une vie que j’aurais inconsciemment voulut avoir… Mais qui peux, même inconsciemment vouloir sa propre mort ?
Je me rallonge sur le côté et sans que je comprenne pourquoi mon visages est humide… Je pleure
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Message  Invité Jeu 16 Oct - 19:53

Chapitre Second : Ithinis Maxia


Trois semaines s’écoulèrent entre le temps où Rokath me brisa la mâchoire et que je m’en remis totalement en moins de deux heures et le jour où Ithinis Maxia fût en vue.
Pendant c’est trois semaine j’eus le plaisir de voir la grimace de surprise de Rokath lorsqu’il me vit le lendemain dans son cours. J’eus le déplaisir de voir que la jolie fille ne m’avait toujours pas remarqué. Tous les matins j’avais aussi de désagréable migraines et parfois des vertiges et pour le reste je repris ma vie normalement. Au détail près que je consommais beaucoup plus de drogue et d’alcool mais beaucoup plus discrètement qu’avant. Je ne savais pas pourquoi je le faisais mais ce qui compte c’est que je le faisais.
La plupart de mes résultats étaient en baisse et il était rare que je passe plus de deux jours sans prendre un cachet rose ou que je ne m’injecte un liquide de couleur suspecte et quand j’étais assez lucide pour avoir des pensée sensées je me disais que j’étais accroc… Et à ce moment là je prenais à nouveau quelque chose.
Une chose était sur je ne me sentais pas bien mais je ne me l’avouais pas. Il m’a fallut beaucoup de temps pour me rendre compte de cette réalité.
On m’envoya discuter avec des psys, j’étais surveiller par mes amis, mais quoi qu’il arrive je ne changeais rien jusqu’à ce que nous arrivions sur Ithinis Maxia…

Ce jour-ci je m’éveillais et aucun maux tête ne m’assaillis. Me disant que c’était probablement dû à un truc que j’avais pris hier soir je commençais à sortir ma boîte noire pour y récupérer la lame de couteau et me rendis compte d’une chose… Tout le monde dans le dortoir dormait à poing fermés.
Je me jetais sur ma montre que j’avais laissée tombée par terre pendant la nuit : 5h52. Dans huit minutes très exactement les montres de toutes les recrues du dortoir allaient sonner pour les réveillés.
Je me rassis sur mon lit, sidéré, la sonnerie de la montre ne me réveillait qu’à peine et habituellement je me rendormais juste après l’avoir entendu et là je me réveillais alors qu’il n’y avait pas eu le moindre bruit…
Je hausse les épaules, pourquoi ça n’arriverais pas après tout ? Je me dirige vers la salle adjacente au dortoir. Et alors que je finissais de me raser je constatais que je n’avais pas envie de prendre une quelque conque drogue. La seule idée de m’injecter quoi que ce soit me dégoûtait en fait, tout comme d’avaler un cachet.
Je m’habillais et sors du dortoir, l’instant après que j’ai refermé la porte, des sonneries retentissent de l’autre côté.
J’ai presque envie de m’écrouler en voyant que je n’ai mis que huit minutes à faire tout ce que je fais habituellement en plus d’un quart d’heure. Me disant que j’ai vraiment pris un truc pas net hier soir je me dirige vers le self. Lorsque j’arrive dans le couloir panoramique je prends le temps d’observer le nouveau paysage.
Pendant la « nuit » nous avions atteint un nouveau système stellaire. Le système Ithinien en fait. L’étoile était assez jeune et le système ne s’était que récemment formé c'est-à-dire il y à environs trois mille quatre-cent ans.
Trop absorber par mon observation pour remarquer que je me souviens de cette date qu’un quelque conque prof d’histoire spatiale avait du citer dans l’un de ses cours je constate que le système comprends 6 planète, 1 géante gazeuse, 4 planètes rocheuses sans intérêts pour La République Amerosienne que ce soit stratégiquement parlant ou même économiquement et enfin Ithinis Maxia, la planète géante. C’était une planète composée à 77% de terres habitables et son sol extrêmement fertile lui vaut le surnom de : Grenier de la galaxie. Mais étant l’une des toutes nouvelles colonies de la République, sa n’était pas l’une de ses « planète-ferme » où vivent quelques dizaines d’agriculteurs, autant de mécanos qui entretiennent des centaines de robots-ouvriers charger de faire l’essentiel du boulot. Non Ithinis Maxia était l’une des planètes où il y avait le plus de technologies de pointe rassemblées en dehors de la Terre. Car bien que l’exploitation des terres ait commencée, plus de 40%de la planète n’avait pas été explorées et nous ne savions pas s’il faudrait écraser une race indigène pour ne pas affronter le problème des protestations. Le cas ne s’était présenté qu’une fois, l’armée avait été envoyé et les extraterrestres avaient été annihilés.
A cette époque il y eu beaucoup de propagande au sujet de ce peuple. La République donna l’image au grand public, d’une race sanguinaire à qui nous avions tenté d’offrir les avantages de la technologie et de la civilisation mais qui nous avait violemment rejetés. Pour ajouter au réalisme ils avaient même installé un écran géant sur un mur du siège du gouvernement. Sur cet écran il y avait marqué un chiffre qui augmentait à peu près tout les jours, c’était censé être le nombre de tué au combat par la race extraterrestre.
Bien que sur les premières années cela apparût comme un acte héroïque étant donné les tendances « meurtrières » du peuple décimé, cela ressembla plus à un génocide pur et dur lorsque certains scientifiques indépendants découvrirent qu’en réalité le peuple était en fait des créatures amphibies suffisamment intelligentes pour revendiquer la possession de leurs terres mais dans l’incapacité physique de tuer à peine plus qu’une grenouille et se nourrissant d’algues mais. Durant cette période de l’histoire l’image de la République Ameurosienne, auprès de l’ensemble de la population, souffrit énormément et il fallut plus de 95 ans d’histoire pour en faire disparaître les séquelles.
Puis après avoir révisé mentalement un chapitre de l’histoire Ameurosienne terrestre, je reprends mon chemin, troublé par cette matinée qui commençait de façon bien étrange. Quand j’entre dans le self je suis presque seul, quelques élèves des classes supérieurs, quelques profs, rien d’inhabituel.

Ce qui l’étais, c’est qu’au lieu d’une bouillasse informe et sur-vitaminée que je recevais à cause de mon régime à base de drogue plus ou moins douce qui le nécessitait pour m’aider à tenir debout toute la journée mais là ce sont deux tartines pain chaud, finement couverte de beurre légèrement fondu qui apparaissent, accompagnés d’une grande tasse de café noir, d’une salade de fruit et de…Béni soit la république, des œufs aux plats. J’adorais les œufs et en mangeais de toutes les façons imaginables, ces deux ronds dorés cerclés de blanc avaient, pour moi, tout l’air d’un rêve.

Je reste bien cinq minutes à les contempler avant de commencer à manger, d’abord lentement n’osant pas vraiment réaliser, puis, lorsque le cœur jaune encore liquide de l’œuf coula dans ma bouche, très vite comme si j’avais peur que ce délicieux repas ne disparaisse. Et alors que j’avalais la dernière miette du pain qui m’avait servit à récupérer tout ce que je pouvais dans mon assiette, arriva de quoi me faire redescendre de mon nuage.

- Rekam ?! s’écria une voix familière.
Je me tournais vers la voix avec un sourire contenté.
- Oui Malya ?
- Mais…Qu’est-ce que tu fais là ?
- Sa paraît évident je digère…
- Non mais je veux dire…Pourquoi tu ne dors pas ?
Je haussais les épaules.
- Parce que je me suis levé.
- C’est bien là le problème.
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